L’implant, la prothèse qui se rapproche le plus des vraies dents
Plus récente, la technique de l’implant dentaire peut être très intéressante, pour peu qu’on ait de l’argent et du temps. Elle est indiquée lorsqu’il ne reste rien de viable de la dent. On peut alors la remplacer par une fausse racine et une fausse dent, qui seront implantées dans la mâchoire, comme les vraies.
L’implant se constitue d’une racine en titane et d’une fausse dent en céramique. © Mis Implants Technologies Ltd
Cependant, mieux vaut ne pas avoir peur du dentiste pour passer par là ! « Il ne matériel dentaire discount s’agit pas d’une opération lourde à proprement parler, puisqu’elle est le plus souvent réalisée dans le cabinet du chirurgien-dentiste, sous anesthésie locale », explique Joseph Lipowicz. Mais elle reste relativement impressionnante et sérieuse.
En effet, une fois les examens préliminaires réalisés, le chirurgien-dentiste va commencer par aller planter une fausse racine en titane dans l’os de la mâchoire. Puis il va refermer la gencive. Il faut alors patienter quelque temps avant de passer à l’étape suivante : l’os de unité dentaire la mâchoire doit se reformer autour de la racine en titane, afin qu’elle fasse partie intégrante de la mâchoire et soit solidement accrochée. « En moyenne, cela prend 4 mois pour la mâchoire du bas et plutôt 6 pour celle du haut, dont l’os est plus poreux », commente le Dr Lipowicz.
Une fois cette étape terminée, le dentiste va pouvoir placer les dents, en céramique, sur les racines en titane. Elles peuvent être clipées ou vissées sur les racines. Votre nouveau stérilisation autoclave sourire est prêt.
Rassurez-vous, entretemps, vous ne restez pas avec un trou béant dans la bouche. Des solutions temporaires sont trouvées, souvent une prothèse provisoire fixée sur l’implant.
Aujourd’hui, des techniques permettent de fixer aussitôt les vraies dents sur les racines mais, sans avoir de chiffres précis, il semble que le taux d’échec soit plus important que lorsqu’on attend que la racine soit bien intégrée (auquel cas, le taux d’échec est de l’ordre de 2 %).